Fanny Clamagirand, Violon
Vanya Cohen, Piano
Naxos – septembre 2021
Danse macabre, op. 40
Jota aragonaise, op. 64
Le Déluge, op. 45 – Prélude
Havanaise, op. 83
Introduction et rondo capriccioso, op. 28
Prière, op. 158 bis
Caprice andalou, op. 122
Air de Dalila
Caprice d’après l’Etude en forme de valse
ON-mag.fr
« (…) une interprétation racée et sincère. (…)
Le violon intense de Fanny Clamagirand offre à toutes ces pièces des sonorités d’un vrai naturel, évitant le pathos. La suprême finesse du trait, jusqu’à des aigus filés comme immatériels, y est pour beaucoup comme la sincérité des interprétations.»
Classicagenda
« La violoniste Fanny Clamagirand et sa complice, la pianiste Vanya Cohen, osent un enregistrement atypique d’œuvres de Camille Saint-Saëns. (…)
Le duo, en symbiose, et que l’on sent parfaitement à l’aise dans ce répertoire si exigeant, signe un troisième volume Saint-Saëns à la hauteur du défi que constituaient ces nouvelles mises en lumière. »
Crescendo Magazine
« (…) une violoniste de très grand talent. Sa palette de sonorité, notamment, faisait grande impression. (…) Cela est encore plus éclatant avec ce dernier album, où Fanny Clamagirand fait preuve d’une variété de couleurs, de dynamiques, d’intensités, de vibratos, digne de ceux qui ont une maîtrise supérieure de leur instrument, pour en avoir assimilé toutes les techniques possibles, et être capable d’en combiner les paramètres avec autant de maîtrise que d’imagination.
(…) Elle n’a pas peur de faire peur, et sa Danse macabre impressionne.
(…)Elle fait preuve dans toutes ces pièces d’un chic, d’une ardeur, d’une flamboyance… (…)
Fanny Clamagirand semble se jouer littéralement de toutes les difficultés de la Havanaise, les transformant en jeu avec une certaine jubilation. Sa liberté rythmique, sans pour autant perdre la pulsation, est irrésistible.
Elle nous épargne les effets faciles habituels de l’Introduction et Rondo capriccioso dans lequel elle trouve des accents et du mordant qui nous éloigne de l’écueil de la virtuosité un peu vaine auquel nous sommes parfois confrontés. À cet égard, la fin (la fameuse dernière page redoutée de tous les apprentis violonistes) n’est pas prise à un tempo d’enfer (…), mais la lisibilité et la clarté y sont exemplaires ; c’est bien plus difficile… et bien plus brillant ! »
Musikzen
« (…) Humeurs variées et chaudes sonorités, Fanny Clamagirand est la femme de la situation, comme dans les Sonates (vol. n°1 et 2) en plein accord avec l’excellente Vanya Cohen.»